L’espionnage russe en Belgique et en Europe "a considérablement augmenté" selon le SGRS

Les services de renseignement sont alertes après les affaires qui ont secoué l’Italie et la Bulgarie.

L’ambassade de Russie à Rome. Deux de ses diplomates ont été expulsés le 31 mars après la découverte qu’un officier italien transmettait des informations confidentielles à un militaire russe.
L’ambassade de Russie à Rome. Deux de ses diplomates ont été expulsés le 31 mars après la découverte qu’un officier italien transmettait des informations confidentielles à un militaire russe. ©AFP

L’espionnage russe en Belgique et en Europe "a considérablement augmenté" depuis que Vladimir Poutine s’est installé au Kremlin et que la Russie a annexé la Crimée en 2014, selon le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) de l’armée. Il reste "une menace persistante", notamment "hybride", selon la Sûreté de l’État. Telle est l’analyse des deux services de renseignement belges après les différentes affaires qui ont secoué ces derniers mois l’Italie, la Bulgarie, la France, les Pays-Bas ou la République tchèque.

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