La critique ciné de la semaine: Bécassine, ce n’est pas notre copine

Une adaptation d’une insupportable naïveté pour une antihéroïne ringarde.

La critique ciné de la semaine: Bécassine, ce n’est pas notre copine

Une adaptation d’une insupportable naïveté pour une antihéroïne ringarde.Les héros ne meurent peut-être jamais, mais ils ne vieillissent pas nécessairement très bien. Les Pieds Nickelés, superstars françaises de papier jusqu’aux années 50, n’existent plus aujourd’hui que dans les expressions un peu désuètes des grands-parents. Bécassine, autre phénomène du début des années 1900, ne s’en est guère mieux sortie. Sans une chanson de Chantal Goyal, la petite Bretonne de vert vêtue se morfondrait plus que probablement dans les oubliettes de la BD.

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