L’alt-right s’incruste dans la campagne de Chelsea Manning
La lanceuse d’alerte s’est lancée dans la course aux élections sénatoriales dans l’État du Maryland. On lui reproche d’avoir participé à une soirée de soutien au président Trump.
Rend les gens puissants en colère ». La succincte biographie Twitter de la lanceuse d’alerte américaine Chelsea Manning sonne comme une mise en garde. Habituée à mettre en rogne les « puissants », – Donald Trump l’avait d’ailleurs qualifiée de « traître » – la trentenaire, qui a annoncé la semaine passée se lancer dans la course aux élections sénatoriales dans l’État du Maryland, s’est attiré les foudres d’une partie de ses soutiens. On reproche à l’ancienne informatrice de WikiLeaks de s’être acoquinée avec l’alt-right américaine en participant à une soirée en l’honneur de la première année du président Trump au pouvoir, samedi dernier. Un comble pour celle qui se présente sous étiquette démocrate et qui s’est taillé une réputation de farouche militante des libertés en ligne et de défenseuse des droits des LGBT.
Accédez à l'information nationale et internationale vérifiée et décryptée 1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique (PDF) Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagirPostez le premier commentaire