Alice Weidel, la fausse caution libérale de l’extrême droite allemande
Candidate de l’AfD encore inconnue il y a un an, elle tranche avec les autres représentants de son parti. Portrait.
Depuis Berlin
Elle a l’air charmante et très sympathique au premier abord. Mais dès qu’elle prend la parole devant les militants, sa voix devient tranchante et virulente. « L’Allemagne appartient encore à ses citoyens. L’Allemagne nous appartient ! Jetons le politiquement correct aux oubliettes de l’histoire ! », a lâché Alice Weidel pendant la campagne.
Toujours élégante dans les talk-shows télévisés, cette ancienne banquière et conseillère d’entreprise était inconnue du grand public il y a encore un an. Elle parle couramment le mandarin et connaît sur le bout des doigts le système de retraites en Chine, où elle a séjourné.
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